Nous le savons tous, pour changer de comportements, de croyances, de vie,… il faut passer par un changement de type 2 : une bonne crise. Sinon, nous faisons plus de la même chose sans réel changement (type 1).
« Les modèles dominants, ceux qui sont actuellement les références principales en terme de conception et d’actions de formation professionnelle continuent d’éviter soigneusement tout changement ‘‘réel’’ ». C’est ce que professe Sandra Enlart, enseignante-chercheuse en sciences de l’éducation à l’université de Genève, dans un livre publié récemment : « Concevoir des dispositifs de formation d’adultes » au sous titre éloquent : Du sacre au simulacre du changement – Editions Démos – 187 pages, 26 €
Mais dans ce cas, à quoi sert la formation ? A être « un lieu de mise en scène du changement, à permettre aux hommes et aux organisation de croire au changement, de le donner en représentation, d’en vivre une simulation. Mais fondamentalement, la formation n’est pas le levier d’une transformation profonde.»
La formation a son importance dans un dispositif de transformation mais pour changer vraiment il faut l’inclure dans une réflexion globale sur l’accompagnement au changement. Il existe en France depuis une dizaine d’années, des professionnels, coachs de leur métier, qui s’attèlent à penser le changement différemment.
A l’Institut du Selfcoaching, nous proposons des dispositifs innovants de coaching qui permettent d’obtenir des changements pérennes :
– Du dispositif individuel – coaching en face à face de 14 h à 28 h ou coaching téléphonique
– Au dispositif collectif – coaching de groupe, ateliers d’échanges de pratiques, coaching d’équipes, Appreciative Inquirery…
L’objectif étant toujours le même : partir de la situation présente, d’une personne ou d’un groupe, pour arriver par l’Art du questionnement à la situation désirée. Le coach en position basse et non haute comme le fait un formateur (c’est moi qui sait comment faire et je vais vous le montrer), permet au(x) coaché(s) de se sentir en confiance et de déployer tout leur potentiel. Le coach facilite l’apprentissage par l’expérience pour acquérir des savoir-faire et travaille avec des forces émergentes humaines ou organisationnelles pour capter une nouvelle énergie, du sens, faire dessiner des visions et des plans neufs qui permettront de générer les résultats désirés.
Le coach, catalyseur de talents, utilise le questionnement, l’effet miroir, le feedback positif et la considération positive inconditionnelle pour développer les capacités et la performance de ses clients.
Et si de récentes recherches en neurologie (Science et vie de décembre 2008), on démontré grâce à l’IRM, que l’adulte est capable d’ajuster ses comportements quand ils reçoit des remarques négatives, nous savons qu’émotionnellement, recevoir des critiques, inhibe les individus et les démotive (conf : effet Rosenthal).
La crise actuelle est pour nous tous une formidable occasion de changer ce que nous n’avions pas pu faire jusqu’à présent ou de changer de paradigme pour adopter (enfin) un modèle qui a fait ces preuves en matière de changement : LE COACHING !
C’est maintenant que vous pouvez agir : 09 75 71 33 17
Pour en savoir plus sur le coaching : http://fr.wikipedia.org/wiki/Coaching
Ce qu’est le coaching – Par Valérie Moissonnier – Journal du net www.journaldunet.com/management/0312/031219_coaching.shtml
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